Une enquête centrée sur le port fluvial de Pucallpa, dans la région d'Ucayali, en Amazonie péruvienne, révèle que les femmes qui servent dans les bars autour du port et celles qui travaillent dans les cuisines des camps d'exploitation forestière (légaux et illégaux) sont soumises à une exploitation sexuelle constante et beaucoup d'entre elles sont aussi victimes d'un trafic sexuel. L'auteur, Jaris Mujica, de l'Université catholique du Pérou, effectue une reconstruction des parcours des femmes et de la reproduction cyclique de ces types d'exploitation, qui interviennent dans le cadre d'une exploitation plus structurelle.
Lire l'article (en espagnol) :
http://revistas.pucp.edu.pe/index.php/anthropologica/article/view/11330/11839