Spoliation foncière légale

Dans la plupart des pays qui possèdent des forêts tropicales, les gouvernements maintiennent l’héritage colonial qui déclarait l’État propriétaire des terres forestières. Cela a permis aux gouvernements d’accorder légalement des terres à des investisseurs privés, souvent en violation des droits de propriété coutumiers des communautés. En conséquence, les activités des entreprises qui détruisent les forêts continuent de s’étendre.

Actions en cours 26 novembre 2021

Le Collectif des communautés de la province de Nyanga, au Gabon, a publié la Déclaration de Bana/Mayumba dans laquelle il demande la suspension du GRANDE MAYUMBA, un mégaprojetprésente comme une « Solution Fondée sur la Nature »

Actions en cours 16 juin 2020

Il y a plus de 100 ans, des terres ont été volées à des communautés de la République démocratique du Congo pour la production industrielle d’huile de palme. Depuis 2009, ces terres sont sous le contrôle de la société FERONIA.

Publications 4 avril 2019

La brochure « Promettre, diviser, intimider, contraindre : 12 tactiques utilisées par les sociétés productrices d’huile de palme pour s'emparer des terres communautaires » entend soutenir les communautés qui souhaitent renforcer leur résistance et mieux se préparer pour faire face aux sociétés et les empêcher d’implanter des plantations sur leurs terres.

Publications 15 novembre 2018

Une compilation d'articles du Bulletin du Mouvement mondial pour les forêts tropicales (WRM) à l'occasion de la quatorzième réunion de la Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique (CDB) qui se tiendra du 17 au 29 novembre à Sharm El-Sheikh, en Égypte.

Actions en cours 6 novembre 2018

Neuf communautés de la République démocratique du Congo ont accompli un geste historique cette semaine en déposant une plainte auprès du mécanisme de plaintes de la banque de développement allemande.

Actions en cours 14 septembre 2016
Publications 1 juin 2015

Les institutions financières de développement européennes et américaines financent une nouvelle phase d’agro-colonialisme au Congo.