Banque mondiale et autres institutions financières
« Lutte contre la pauvreté », « durabilité », « prospérité » et « développement » sont les maîtres mots dans les documents de relations publiques de la Banque mondiale, de sa branche privée, la Société financière internationale (SFI) et d’autres agences de financement du développement. En réalité, les politiques, programmes et projets promus par ces institutions ont maintes et maintes fois accru la pauvreté, la violence et la destruction des forêts.
La soi-disant coopération au développement cache et légitime un programme de spoliation et d’expansion capitaliste. Comment cette injustement dénommée coopération coopte dans les faits le programme politique des mouvements en canalisant et favorisant des discussions, des pratiques et des intérêts étrangers imposés de l’extérieur.
Nous invitons les organisations à signer cette lettre ouverte avant le vendredi 6 novembre prochain.
A la veille de la Journée internationale de Lutte contre les plantations d´arbres en monoculture, a été publiée une lettre ouverte.
Disponible uniquement en anglais et portugais.
Signez cette lettre pour alerter les citoyens des pays du Nord! Empêchez les agences de développement de promouvoir l'expansion des plantations d'arbres à grande échelle qui détruisent des territoires. La lettre est ouverte à la signature jusqu'au 19 septembre.
That is the message from more than 80 organisations to the GCF Board on 17 August 2020. The organisations call on the Board to reject in particular requests from Colombia and Indonesia for so-called “Results-Based Payments” for deforestation supposedly reduced years ago.
Disponible uniquement en anglais, espagnol et portugais
Les communautés sont confrontées depuis longtemps aux catastrophes imposées par les grandes entreprises et les élites. Pour elles, « l’urgence » était une réalité bien avant la pandémie de Covid-19. Pourtant, les chercheurs de profit abusent de la situation pour accaparement des terres.
Avec la pandémie de Covid-19, les industries agroalimentaires et de la viande ont décroché le jackpot. Alors que les profits de la pandémie restent au sommet, c’est une véritable catastrophe qui ruisselle vers le bas. Les conséquences sont dévastatrices. Une nouvelle vague d’ajustements structurels est en cours qui va se concentrer sur l’accroissement des investissements étrangers dans l’agro-industrie et des exportations de produits agricoles.
Pour beaucoup, la crise environnementale, climatique et sociale est une réalité depuis longtemps. Pourtant, plutôt que de reconnaître leur contribution à cette crise, les entreprises et leurs alliés utilisent la pandémie pour accroître les pressions exercées visant à élargir les aires protégées.
Quand la région de Chure a été déclarée Zone protégée, les droits de milliers de groupes forestiers communautaires ont été fragilisés. Ils continuent de résister malgré les violences généralisées et le projet accepté par le Fonds vert pour le climat.
Disponible uniquement en anglais.