Bois
Des monocultures d’arbres à grande échelle, équiennes et gérées de manière intensive pour la production de bois d’œuvre, se sont étendues dans les terres fertiles des communautés. Elles ont détruit des forêts et des prairies, notamment en Amérique latine, en Asie et en Afrique australe et orientale. Les espèces utilisées sont exotiques et à croissance rapide. Il s’agit notamment de variétés d’eucalyptus, de pin et de teck.
Disponible uniquement en anglais et espagnol.
Adhérez à cette lettre pour dénoncer le maquillage vert de la multinationale finlandaise UPM, qui tente d'installer une nouvelle usine de pâte à papier et d'étendre les plantations d'arbres de monoculture en Uruguay.
La société UPM a exigé, comme condition pour établir sa deuxième usine de cellulose, que le gouvernement uruguayen construise un nouveau chemin de fer qui relierait le site de sa future usine et le port.
L’expansion du palmier à Wimbí est déjà un fait. Il en va de même de l’extraction du bois, dont le protagoniste est le même trafiquant de terres qui a permis l’entrée d’Energy&Palma, une entreprise de palmiers à huile. Ce nouveau cycle de spoliation et menace la communauté.
Presque tous les articles du présent bulletin du WRM portent sur les plantations d’arbres et certains d’entre eux parlent même des sceaux de certification déjà mentionnés et de la façon dont ceux-ci profitent dans les faits aux entreprises au détriment des communautés.
Depuis que l’on a détruit la végétation indigène entourant Quito pour faire place à des plantations d’eucalyptus et de pins, les feux de forêt s’intensifient année après année.
En 2017, la société finlandaise UPM a signé un contrat avec le gouvernement uruguayen pour la construction d’une troisième usine géante de production de cellulose. Dans ce projet, la multinationale impose des conditions exorbitantes.