Luttes pour les forêts
Lorsque des entreprises détruisent des forêts ou limitent, voire interdisent, l’accès aux territoires des populations forestières, elles mettent en péril le mode de vie des communautés et leur existence même. Le WRM soutient les luttes des populations forestières pour la défense de leurs territoires et pour leur droit de décider comment vivre et comment utiliser les forêts dont elles dépendent.
Le Collectif des communautés de la province de Nyanga, au Gabon, a publié la Déclaration de Bana/Mayumba dans laquelle il demande la suspension du GRANDE MAYUMBA, un mégaprojetprésente comme une « Solution Fondée sur la Nature »
Disponible uniquement en espagnol.
Le WRM s'est entretenu avec de proches alliés du Brésil, du Gabon, de l'Inde, du Mexique et du Mozambique, pour les entendre et connaître leur compréhension du développement.
Quelles sont les expériences des communautés riveraines de lieux où opèrent les entreprises qui s’engagent à des pratiques de « déforestation zéro » ?
Nous avons besoin de votre appui! Nous appelons les organisations, groupes, réseaux et mouvements à signer cette pétition en solidarité avec les communautés gabonaises menacées par les plantations d'OLAM / SOTRADER. Vous pouvez adhérer jusqu'au jeudi 19 septembre.
La brochure « Promettre, diviser, intimider, contraindre : 12 tactiques utilisées par les sociétés productrices d’huile de palme pour s'emparer des terres communautaires » entend soutenir les communautés qui souhaitent renforcer leur résistance et mieux se préparer pour faire face aux sociétés et les empêcher d’implanter des plantations sur leurs terres.
Si autrefois les organisations de conservation se consacraient à la collecte de fonds pour créer des aires protégées dans les forêts prétendument menacées de destruction, aujourd’hui elles sont devenues de véritables « industries » transnationales qui gèrent et contrôlent des territoires.
La création de la Réserve de biosphère Maya légitime un modèle destructeur : projets d’infrastructures et d’énergie combinés à des aires protégées « dépeuplées ». Alors que les ONG de conservation grossissent leurs portefeuilles de projets, les communautés paysannes et autochtones sont déplacées ou contraintes à dépendre des ONG et du marché.