Les autres informations

Pour la deuxième fois, le Conseil exécutif du Mécanisme de développement propre (MDP) a rejeté les arguments utilisés par Vallourec & Mannesmann do Brasil dans sa demande d'argent sur les crédits carbone de ses plantations industrielles d'arbres.
Début mars 2005, le premier projet de puits de carbone promu par le Fonds “biocarbone” de la Banque mondiale est entré dans la première étape de son enregistrement en tant que projet MDP du Protocole de Kyoto. À peu près à la même date, un formulaire a été publié sur le site Web de la Banque mondiale pour les finances du carbone, à l'intention des responsables de projets de puits, pour qu'ils puissent estimer les taux d'absorption de leurs plantations.
S'il y a quelque chose que cet autre monde possible que nous réclamons doit contenir, c'est bien la diversité biologique. La vie nous le dit à chaque instant, elle nous le crie. Plus la diversité d'un écosystème est grande, plus grandes sont sa richesse et sa beauté. Voilà par exemple les précieuses forêts tropicales, profonds réceptacles d'innombrables espèces animales et végétales, de couleurs, de nuances et de sons, berceaux de cascades et de ruisseaux, matrices de populations humaines.
En 1972, le groupe norvégien Borregaard établit une usine de pâte à quelques kilomètres de la ville de Porto Alegre (État de Rio Grande do Sul), dans la municipalité de Guaíba, sur les berges du fleuve du même nom. L'usine fut fermée en 1975 par suite des pressions publiques dues à la pollution qu'elle provoquait. La même année, elle fut achetée par l'entreprise Klabin et reprit ses activités sous le nom de Riocell.
La consommation et la pauvreté sont actuellement les deux extrêmes du marché mondial du papier. La manipulation des marchés, la cartellisation, la fixation des prix et d'autres pratiques semblables donnent à un groupe d'entreprises le pouvoir nécessaire pour le contrôler. Au milieu, la pollution de l'air, l'eau et le sol, l'accaparement de la terre par des étrangers, l'augmentation de l'échelle, l'intensification d'un mode de production qui utilise de moins en moins de travailleurs.
La iniciativa de Mumbai - Porto Alegre sobre los bosques Comentarios de los doce principios por Ricardo Carrere
Les organisations et les représentants des mouvements sociaux d'Europe orientale et occidentale et d'Amérique du Nord et du Sud se sont réunis à Buenos Aires, Argentine, pendant la première quinzaine de décembre 2004, pour dire à la dixième Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations unies sur le Changement climatique d'exclure les arbres GM du Protocole de Kyoto, le traité international sur le réchauffement de la planète.
Lorsque la rencontre internationale sur le changement climatique a pris fin à Buenos Aires, le samedi 18 décembre 2004, les travailleurs avaient déjà commencé à démonter les installations. Or, après deux semaines de négociations, tout ce que les plus de 6 000 participants avaient réussi à définir était qu'il fallait se réunir à nouveau.
L'industrie de l'énergie hydro-électrique a toujours dépendu des subsides pour la construction des grands barrages. A présent, les défenseurs de l'hydro-électricité déclarent que les barrages sont « respectueux de l'environnement », en une tentative désespérée d'obtenir pour eux le financement du carbone.
« Pour éviter le changement climatique, nous devons changer. » [devise de la COP 10] La possibilité de participer comme observateur à la 10 e Conférence des Parties à la Convention sur le Changement climatique, organisée à Buenos Aires en décembre dernier, a tout de suite éveillé en moi des expectatives contradictoires.
Solo disponible en inglés -  by Phetsavanh Sayboualaven 1) Introduction
Wangari Maathai et Florence Wambugu ont des opinions diamétralement opposées sur la plantation d’arbres au Kenya. L’approche de Maathai est anticolonialiste et favorable à l’autonomie de ceux qui plantent des arbres. Celle de Wambugu est néocolonialiste, et rend ceux qui plantent des arbres dépendants de la biotechnologie.