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Le 21 septembre, des organisations et des individus du monde entier vont donner une plus grande visibilité aux innombrables luttes contre l'expansion des grandes plantations forestières en monoculture. Les plantations d'eucalyptus, de pins, d'acacias, d'hévéas, de tecks, de palmiers à huile et d'autres types de plantations industrielles entraînent des impacts désastreux. Cette journée met également en lumière les impacts nocifs de ce modèle de production en monoculture.
Disponible uniquement en portugais.  A financeirização da natureza significa o aprofundamento radical do capitalismo e, ao mesmo tempo, configura-se como um neocolonialismo. Os povos indígenas e as comunidades tradicionais são os principais impactados por esta lógica perversa, que transforma a natureza em mercadoria e agrava ainda mais a desigualdade social.
Une équipe internationale de chercheurs a publié une étude dans la revue Ecology and Evolution, qui souligne les impacts complexes de l'introduction d'espèces exotiques. Cette fois, il a été démontré que l'eucalyptus à des effets létaux et sublétaux sur les larves d'insectes aquatiques qui toucheraient différents organismes vivant dans les écosystèmes fluviaux dont les rives accueillent des plantations de cette espèce.
La plantation à grande échelle d'eucalyptus et d'acacias dans le cadre d'un projet aidé par la Banque mondiale en Inde n'a pas seulement épuisé la riche nappe phréatique dans les districts de Bengalore rural, Kolar et Chikkaballapur, il a également modifié le régime annuel des précipitations dans la région.
Le cinquième numéro du magazine « Trait d’Union », trimestriel d’information et de liaison des associations des riverains des plantations SOCAPALM, des syndicats des travailleurs et des planteurs de palmier à huile, est disponible. Les éditions du Magazine Trait d’Union sont téléchargeables gratuitement sur le site www.palmespoir.org
Des manifestantes ont organisé un blocage de la mine de cuivre de Panguna pour empêcher la signature d'un protocole d'accord entre le Gouvernement autonome de Bougainville (ABG) et la société minière Bougainville Copper Limited (BCL). Elles ont également obtenu une injonction judiciaire empêchant la signature du protocole d'accord jusqu'à nouvel ordre. Le protocole d'accord vise à autoriser BCL à rouvrir la mine avant juin 2019.
En novembre 2012, deux femmes ont été retrouvées mortes aux abords d'une plantation de palmiers à huile. Ces morts ont été perçues comme un avertissement clair à l'intention du village de Klong Sai Pattana, dans le Surat Thani, dans le sud de la Thaïlande. Les victimes avaient passé les quatre dernières années à se battre contre une entreprise d'huile de palme, Jiew Kang Jue Pattana Co. Ltd, dans un conflit foncier qui avait englouti cette petite communauté d'environ 70 familles.
C'est le titre d'un livre signé conjointement par Mordecai Ogada et John Mbaria. « Dans de nombreuses régions d'Afrique, la conservation s'accompagne d'un contrôle des terres d'une façon ou d'une autre. Elle se limite rarement au niveau de la seule observation des espèces et des problèmes, elle inclut toujours un contrôle des terres, pour le meilleur ou pour le pire », explique M. Ogada à l'occasion d'une présentation de son livre au Centre africain de l'Université de l'État du Colorado en mars 2017.
La mine d'Ambatovy, une énorme opération de huit milliards d'USD (en valeur actuelle), est destinée à extraire du nickel et du cobalt du riche sol de Madagascar. Ce projet a directement impacté une forêt de 2 500 hectares et certaines familles ont été déplacées du fait d'accords de compensation controversés qui ont divisé la communauté.
Ce rapport de l'organisation « War on Want » révèle l'ampleur du contrôle des entreprises britanniques sur les ressources minérales essentielles de l'Afrique, notamment l'or, le platine, les diamants, le cuivre, le pétrole, le gaz et le charbon. Il donne des informations détaillées sur la façon dont 101 entreprises cotées au London Stock Exchange (LSE) – pour la plupart britanniques – contrôlent les activités minières dans 37 pays d'Afrique subsaharienne.
L’organisation Biofuelwatch présente une nouvelle page web consacrée à ses analyses des divers aspects de la biotechnologie appliquée à la manipulation des produits agricoles, des arbres et des microbes pour la fabrication de biocombustibles et pour le développement de l’économie « biologique ».