Bois
Des monocultures d’arbres à grande échelle, équiennes et gérées de manière intensive pour la production de bois d’œuvre, se sont étendues dans les terres fertiles des communautés. Elles ont détruit des forêts et des prairies, notamment en Amérique latine, en Asie et en Afrique australe et orientale. Les espèces utilisées sont exotiques et à croissance rapide. Il s’agit notamment de variétés d’eucalyptus, de pin et de teck.
L’accaparement de terres au Brésil constitue un exemple clair de crime organisé et de vol de terres des petits agriculteurs et agricultrices.
Disponible uniquement en anglais et portugais.
Organisations, réseaux et mouvements célèbrent la résistance etfont entendreleurs voix afin d’exiger que soit arrêtéel’expansion des plantations industrielles d’arbres.
La construction de l’usine de papier Suzano Papel e Celulosa, ainsi que des routes voisines, le transport incessant de bois et l’affluence massive de travailleurs ont causé beaucoup de destruction pour les populations locales. Voici le témoignage d’une femme militante.
Presque tous les articles du présent bulletin du WRM portent sur les plantations d’arbres et certains d’entre eux parlent même des sceaux de certification déjà mentionnés et de la façon dont ceux-ci profitent dans les faits aux entreprises au détriment des communautés.
Nombreuses plantations de monocultures certifiées sont établies au Brésil sur des terres dont les titres de propriété ont été obtenus frauduleusement. Le présent article examine le cas de Agropalma et Jari Florestal.
Disponible uniquement en espagnol.
Les compagnies de cellulose progressent dans ces territoires en neutralisant la résistance des communautés dans un processus qui mène la population à dépendre économiquement et symboliquement de ces compagnies.