Luttes contre les monocultures d’arbres
La recherche de profit par les entreprises se traduit par des accaparements de terres qui visent à mettre en place des monocultures industrielles d’arbres. Là où les plantations industrielles s’installent durablement, elles entraînent des incursions violentes dans les terres et les vies des communautés, la destruction de leurs forêts et la pollution de leurs sources d’eau. Lorsque les communautés résistent, les entreprises ont tendance à réagir de manière agressive. Malgré cette violence extrême, dans le monde entier, les communautés résistent, s’organisent et unissent leurs forces pour défendre leurs territoires. Chaque 21 septembre, la Journée internationale de lutte contre la monoculture d’arbres est célébrée.
Les sociétés de plantation prétendent souvent que les populations locales détruisent les forêts. Selon elles, les plantations industrielles peuvent assurer une fourniture « durable » de bois pour leurs besoins énergétiques.
La forte utilisation de produits agrotoxiques constitue un des dangers latents de l’établissement de plantations de monocultures.
Adhérez à cette lettre pour dénoncer le maquillage vert de la multinationale finlandaise UPM, qui tente d'installer une nouvelle usine de pâte à papier et d'étendre les plantations d'arbres de monoculture en Uruguay.
Alors que dans les médias, on pouvait facilement observer la fumée des incendies forestiers au Brésil, il était bien plus difficile de voir ce qui se trouvait derrière le rideau de fumée du gouvernement brésilien : actions qui mèneront la jungle à une mort rapide.
La société Portucel considère que ses milliers d’hectares de plantations au Mozambique sont « durables » malgré les graves problèmes et conflits avec et entre les populations locales.
Les leaders communautaires et chefs coutumiers des régions impactées par les plantations de la société canadienne PHC-Feronia en République Démocratique du Congo (RDC) continuent à subir toutes sortes de violations massives de droits humains.
Disponible uniquement en anglais, espagnol et portugais.
La société singapourienne OLAM a obtenu un accès à 500 000 hectares de terres au Gabon pour la mise en place de grandes plantations de palmiers à huile, un pays couvert de forêts à 85 %. Comment OLAM peut-il donc prétendre respecter un engagement de « zéro déforestation » ?
Disponible uniquement en anglais.
Disponible uniquement en anglais, espagnol et portugais.
Nous avons besoin de votre appui! Nous appelons les organisations, groupes, réseaux et mouvements à signer cette pétition en solidarité avec les communautés gabonaises menacées par les plantations d'OLAM / SOTRADER. Vous pouvez adhérer jusqu'au jeudi 19 septembre.
Dans leur déclaration publiée le 14 août 2019, le RIAO-RDC et les organisations de soutien appellent les autorités de la RDC à retrouver et arrêter immédiatement le suspect du meurtre.
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