Pâtes et papiers

Les monocultures d’arbres à grande échelle visant à produire de la pâte à papier et du papier, ainsi que les infrastructures et les usines de pâtes à papier associées à ces plantations, se sont implantées sur les terres fertiles des communautés. Elles ont détruit des forêts et des prairies, notamment en Amérique latine, en Asie et en Afrique australe. Les espèces utilisées sont à croissance rapide et ne sont pas originaires de ces pays. Il s’agit notamment de variétés d’eucalyptus, d’acacias et de pins.

Articles de bulletin 25 octobre 2023
Plus de 7% du territoire uruguayen est recouvert de plantations d’arbres en monoculture. Une poignée d'entreprises est à l'origine de l'expansion massive de ces plantations - qui concerne principalement les bassins versants et les prairies - et les conséquences ont été dévastatrices. Cette année, près de la moitié de la population urbaine s’est retrouvée sans accès à l’eau potable – un avertissement imminent du changement drastique qui doit être mis en œuvre pour que l’Uruguay conserve son eau.
Les autres informations 25 octobre 2023
L'une des usines de pâte à papier de l'entreprise finlandaise UPM a rejeté un million de litres de soude caustique dans le Sauce, un ruisseau affluent de la rivière Negro, en Uruguay.
Actions en cours 26 février 2020

Adhérez à cette lettre pour dénoncer le maquillage vert de la multinationale finlandaise UPM, qui tente d'installer une nouvelle usine de pâte à papier et d'étendre les plantations d'arbres de monoculture en Uruguay.

Articles de bulletin 15 juillet 2019

La société UPM a exigé, comme condition pour établir sa deuxième usine de cellulose, que le gouvernement uruguayen construise un nouveau chemin de fer qui relierait le site de sa future usine et le port.

Articles de bulletin 29 avril 2018

En 2017, la société finlandaise UPM a signé un contrat avec le gouvernement uruguayen pour la construction d’une troisième usine géante de production de cellulose. Dans ce projet, la multinationale impose des conditions exorbitantes.