Les autres informations

En janvier 2020, le point de contact national néerlandais pour l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a déclaré admissible une plainte de trois groupes des Amis de la Terre (Milieudefensie - Pays-Bas, SDI -Libéria et WALHI - Indonésie) contre la banque ING.
Cet ouvrage de 1992, édité par Wolfgang Sachs, rassemble plus de 15 concepts clés qui ont servi de base et de moyen d’expansion pour le discours destructeur du « développement ». Chacun des concepts analysés cristallise un ensemble d’hypothèses qui renforcent la vision occidentale du monde, où certains aspects et domaines de la réalité sont mis en évidence et d’autres sont exclus. Une réflexion nécessaire qui reste d’actualité aujourd’hui.
Le Bulletin 234 du WRM, de novembre 2017, qui se penche sur le concept des droits, apporte une autre réflexion autour d’un concept clé pour les forêts et les populations forestières. Que pouvons-nous apprendre pour construire des mouvements et soutenir les luttes des peuples des forêts face aux dilemmes, contradictions et pièges qui ont émergé dans les discours sur les « droits » ?
Un article du blog REDD-Monitor ouvre un espace de débat nécessaire sur la politique entourant les soi-disant « solutions » climatiques basées sur la nature ou naturelles. Entre autres, il indique clairement quels acteurs « adorent » cette initiative : les sociétés pétrolières et gazières, main dans la main avec leurs partenaires, les grandes ONG internationales de conservation qui soutiennent également la compensation carbone et REDD.
ARTE, la chaîne de télévision européenne, a diffusé un documentaire sur le label FSC intitulé : « Forêts labellisées, arbres protégés ? » (« The exploitation of primary forests: Can an ecolabel stop the forest industry? ») Les journalistes se sont rendus dans plusieurs pays pour chercher à savoir à quoi ressemble sur le terrain la certification FSC des forêts et des plantations forestières industrielles et si elle protège les forêts et les droits des peuples autochtones et des communautés locales.  Le documentaire, de près d’
Un récent rapport des Amis de la Terre International souligne à quel point des réglementations classiques et rigoureuses sont évincées au profit de systèmes de compensation beaucoup plus indulgents. Des secteurs spécifiques, tels que les industries mondiales de l’alimentation, de l’agriculture et de l’aviation, utilisent ces mécanismes pour maintenir l’approbation sociale permettant de poursuivre leurs activités destructrices et contrer la menace d’une réglementation.
Le Chili devait être l’hôte du Sommet des Nations Unies sur le climat. Mais face à un soulèvement populaire massif contre le modèle économique néolibéral, le Chili a annulé le Sommet. Ce dernier a été déplacé en Espagne, mais le Chili a conservé la présidence de la COP.
CUIDANDERAS est une mini-série du Fonds d’action urgente pour l’Amérique latine et les Caraïbes (UAF-LAC). Elle présente des récits de femmes latino-américaines engagées dans la protection de leurs territoires, la guérison de leur corps et la lutte contre les modèles racistes et extractifs. Une vidéo montre comment les femmes Waorani (de la province d’Orellana, en Équateur) se sont battues pour protéger leur territoire en Amazonie et préserver leur culture autochtone.
Sexy Killers est un documentaire indonésien de 2019 réalisé par Dandhy Dwi Laksono et Ucok Suparta qui décrit l’industrie minière du charbon et ses relations avec les milieux politiques indonésiens. Le documentaire montre également comment les sociétés minières, soutenues par les gouvernements locaux et nationaux, s’emparent souvent des terres des populations et détruisent les forêts à la recherche de plus de charbon.
Publié par Market Forces et 350.org et coédité par Bangladesh Poribesh Andolan (BAPA), Transparency International Bangladesh (TIB) et Waterkeepers Bangladesh, une nouvelle publication (Choked by coal: The carbon catastrophe in Bangladesh) montre que les capitaux étrangers jouent un rôle détermina
Depuis 1979, plus de 100 déversements d’hydrocarbures se sont produits le long de l’oléoduc nord-péruvien, une méga construction qui s’étire sur une immense longueur de 1 106 km depuis l’Amazonie jusqu’à la côte péruvienne, exploitée et détenue par la société d’État Petroperu.
Quatre ans après l’effondrement du barrage de rétention de résidus de Samarco à Mariana, des entités et des mouvements déposeront une plainte devant la Commission et la Cour interaméricaine des droits de l’homme.