Les autres informations

Une plainte a été déposée auprès du Comité des Nations Unies sur les droits économiques, sociaux et culturels (CDESC) pour vérifier les impacts négatifs et les possibles violations des droits de l'homme en Uruguay résultant des conditions établies dans le contrat d'investissement signé entre la multinationale finlandaise UPM et le gouvernement uruguayen pour l'installation d'une nouvelle usine de pâte à papier dans le pays.
Un nouveau clip vidéo intitulé « Cabo Delgado Weeps » (« Cabo Delgado pleure »), produit par Justiça Ambiental JA!, vise à contribuer à la lutte contre le projet gazier de Cabo Delgado, au Mozambique. Cliquez sur le lien suivant pour visionner le clip vidéo en portugais sous-titré en anglais ici.
En février 2021, un rapport complet a confirmé des accusations portées depuis longtemps contre Golden Veroleum Liberia, une entreprise contrôlée par le conglomérat Golden Agri Resources (GAR), cotée à la bourse de Singapour et deuxième société d'huile de palme dans le monde.
Les restrictions de l'UE sur les carburants à base d'huile de palme sont présentées par le gouvernement malaisien comme une menace pour des milliers de petits exploitants qui dépendent de cette industrie.  Cependant, la majorité des petits exploitants et des travailleurs du palmier à huile gagnent-ils des revenus confortables ?
Les Amis de la Terre ont organisé la première session du Tribunal des peuples africains à Lagos, au Nigeria, en novembre 2020. Des représentants des communautés touchées et de la société civile ont présenté des témoignages sur des cas de violations des droits de l'homme et de dégradation de l'environnement liés à des plantations d'arbres en monoculture dans dix pays d'Afrique.
Focus on the Global South a récemment publié son bulletin d'information avec un message en provenance d'Asie où, malgré la pandémie et toutes ses conséquences, l'humeur dominante est au défi et non au désespoir.
Les récents appels à l'action pour lutter contre la perte critique de biodiversité sont à la fois attendus depuis longtemps et bienvenus, mais il manque un débat parallèle sur le « comment ». Pourtant, le « comment » est sans doute aussi important que l'objectif principal. L'ONG Green Finance Observatory a publié une vidéo expliquant les menaces qui se cachent derrière les principaux mécanismes utilisés pour financer la destruction de la nature.
Le discours sur le développement est enchevêtré avec un ensemble de concepts : impossible de parler de développement sans penser à d’autres idées comme la pauvreté ou la croissance. Mais comme il s’agit d’un discours transversal présent dans la plupart des politiques économiques et d’intervention dans les territoires, il s’enchevêtre avec d’autres concepts comme le racisme, les droits et les alternatives. C’est pourquoi un grand nombre des articles de notre bulletin portent un regard sur ce discours.
Une déclaration à signer dénonce le fait que les banques publiques de développement financent des entreprises et des projets privés qui ont un impact important sur les communautés, leur souveraineté alimentaire et leurs territoires. Du 9 au 12 novembre 2020, 450 institutions financières du monde entier vont se réunir pour la première rencontre internationale des banques publiques de développement, baptisée sommet « Finance en commun », organisée par le gouvernement français.
En Argentine, l’association Productores Independientes de Piray s’est organisée pour freiner la monoculture de pins et la société Alto Paraná que la multinationale de la cellulose Arauco a acquise en 1996. Les paysannes et les paysans ont résisté et remporté une rare victoire : l’expropriation de terres de la multinationale. De plus, leur production de nourriture contribue à la souveraineté alimentaire.
Le plus récent bulletin de l’organisation Focus on the Global South porte sur la pandémie mondiale. Sept articles y examinent comment le présent contexte peut donner lieu à des transformations économiques stratégiques. La version anglaise de ce bulletin est accessible ici.
Membres du MOVUS (Mouvement pour un Uruguay Durable) dénonce le non-respect de la part de la société de pâte UPM des conditions environnementales sur lesquelles l’installation de sa nouvelle usine de cellulose à été autorisée, dans le département de Durazno, Uruguay. Ils exigent la suspension des travaux en cours, tant que ces exigences ne soient pleinement respectées.