Bois

Des monocultures d’arbres à grande échelle, équiennes et gérées de manière intensive pour la production de bois d’œuvre, se sont étendues dans les terres fertiles des communautés. Elles ont détruit des forêts et des prairies, notamment en Amérique latine, en Asie et en Afrique australe et orientale. Les espèces utilisées sont exotiques et à croissance rapide. Il s’agit notamment de variétés d’eucalyptus, de pin et de teck.

Articles de bulletin 15 juillet 2019

La construction de l’usine de papier Suzano Papel e Celulosa, ainsi que des routes voisines, le transport incessant de bois et l’affluence massive de travailleurs ont causé beaucoup de destruction pour les populations locales. Voici le témoignage d’une femme militante.

Articles de bulletin 15 juillet 2019

La société UPM a exigé, comme condition pour établir sa deuxième usine de cellulose, que le gouvernement uruguayen construise un nouveau chemin de fer qui relierait le site de sa future usine et le port.

Articles de bulletin 14 mai 2019

L’expansion du palmier à Wimbí est déjà un fait. Il en va de même de l’extraction du bois, dont le protagoniste est le même trafiquant de terres qui a permis l’entrée d’Energy&Palma, une entreprise de palmiers à huile. Ce nouveau cycle de spoliation et menace la communauté.

Articles de bulletin 22 décembre 2018

À première vue, le village de Nzivi est un village comme beaucoup d’autres dans la région. Mais il présente une différence importante : ce village n’autorise pas les investisseurs à exercer des activités à grande échelle. Green Resources est la principale entreprise de plantations privée. (Disponible en swahili).

Articles de bulletin 15 novembre 2018

Presque tous les articles du présent bulletin du WRM portent sur les plantations d’arbres et certains d’entre eux parlent même des sceaux de certification déjà mentionnés et de la façon dont ceux-ci profitent dans les faits aux entreprises au détriment des communautés.

Articles de bulletin 15 novembre 2018

Nombreuses plantations de monocultures certifiées sont établies au Brésil sur des terres dont les titres de propriété ont été obtenus frauduleusement. Le présent article examine le cas de Agropalma et Jari Florestal.