Huile de palme
Le palmier à huile est originaire d’Afrique de l’Ouest. C’est un arbre important pour les communautés forestières, leurs cultures et leurs économies. Cependant, les monocultures à grande échelle de palmiers à huile destinées à la production industrielle (huile et agrocarburants) ont renforcé la déforestation et l’accaparement des terres en Asie du Sud-Est. Plus récemment, les monocultures de palmier à huile ont également entraîné des destructions en Afrique et en Amérique latine.
Il y a plus de 100 ans, des terres ont été volées à des communautés de la République démocratique du Congo pour la production industrielle d’huile de palme. Depuis 2009, ces terres sont sous le contrôle de la société FERONIA.
En 2004, des ONG de conservation et le ministère des forêts ont lancé un modèle appelé Concessions pour la restauration des écosystèmes. Cet article examine de plus près ce modèle dans le contexte des menaces nouvelles et anciennes pour les forêts. (Disponible en indonésien).
Quelles sont les expériences des communautés riveraines de lieux où opèrent les entreprises qui s’engagent à des pratiques de « déforestation zéro » ?
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Les leaders communautaires et chefs coutumiers des régions impactées par les plantations de la société canadienne PHC-Feronia en République Démocratique du Congo (RDC) continuent à subir toutes sortes de violations massives de droits humains.
La société singapourienne OLAM a obtenu un accès à 500 000 hectares de terres au Gabon pour la mise en place de grandes plantations de palmiers à huile, un pays couvert de forêts à 85 %. Comment OLAM peut-il donc prétendre respecter un engagement de « zéro déforestation » ?
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